2ème journée de l'EURO: les premiers enseignements
Alors que les quatre premiers matchs de cet Euro 2016 se sont déroulés, il est déjà temps d'en tirer quelques enseignements avant le premier match des Belges lundi soir face à l'Italie (21h00).
Des matchs très serrés
Et oui première observation, il n'y a aucun match facile! Les statistiques le prouvent ; aucune équipe ne s'est imposée avec plus d'un but d'écart.
Des équipes jugées plus faibles (Roumanie, Albanie...) ont clairement rivalisé avec leur adversaire, jugé plus fort sur le papier. Une concentration de tous les instants sera donc requise chez les Diables pour parvenir à assurer une qualification sereine.
Même si on sait que le match contre l'Italie ne sera pas une partie de plaisir, il ne faudra certainement pas sous-estimer l'Irlande et la Suède.
Des dernières minutes décisives
Deux équipes sont parvenues à marquer dans les dernières minutes. Dimitri Payet offre la victoire à la France à la 89ème alors que Berezutski égalise miraculeusement dans les arrêts de jeu contre l'Angleterre.
Les dernières minutes seront donc d'une importance capitale et c'est à ce moment là que l'on pourra voir si la préparation physique de Wilmots a porté ses fruits.
Deux coups-francs directs
Deux buts également sur coups-francs directs. En quatre matchs, c'est beaucoup. Le premier, un petit bijou de Gareth Bale. Le deuxième vient des pieds d'Eric Dier, le jeune médian défensif de Tottenham.
Les phases arrêtées s'annoncent donc comme importantes dans des rencontres fermées et cela peut permettre de débloquer des situations compliquées.
Les lacunes sur phases arrêtées ont notamment été une des critiques attribuées aux Belges lors du Mondial brésilien. Marc Wilmots les a entendues et a notamment consacré un entraînement entier aujourd'hui (à huis clos) pour travailler autant les phases défensives qu'offensives.
Alors que le pays tout entier trépigne d'impatience à l'idée de voir entrer en lice les Diables rouges, il ne reste plus qu'à espérer qu'ils réalisent une belle prestation et surtout qu'ils ramènent les trois points lundi soir... Offerts par un coup-franc de Kevin de Bruyne à la 89ème?
Allez savoir...
Thomas Destreille
Des matchs très serrés
Et oui première observation, il n'y a aucun match facile! Les statistiques le prouvent ; aucune équipe ne s'est imposée avec plus d'un but d'écart.
Des équipes jugées plus faibles (Roumanie, Albanie...) ont clairement rivalisé avec leur adversaire, jugé plus fort sur le papier. Une concentration de tous les instants sera donc requise chez les Diables pour parvenir à assurer une qualification sereine.
Même si on sait que le match contre l'Italie ne sera pas une partie de plaisir, il ne faudra certainement pas sous-estimer l'Irlande et la Suède.
Des dernières minutes décisives
Deux équipes sont parvenues à marquer dans les dernières minutes. Dimitri Payet offre la victoire à la France à la 89ème alors que Berezutski égalise miraculeusement dans les arrêts de jeu contre l'Angleterre.
Les dernières minutes seront donc d'une importance capitale et c'est à ce moment là que l'on pourra voir si la préparation physique de Wilmots a porté ses fruits.
Deux coups-francs directs
Deux buts également sur coups-francs directs. En quatre matchs, c'est beaucoup. Le premier, un petit bijou de Gareth Bale. Le deuxième vient des pieds d'Eric Dier, le jeune médian défensif de Tottenham.
Les phases arrêtées s'annoncent donc comme importantes dans des rencontres fermées et cela peut permettre de débloquer des situations compliquées.
Les lacunes sur phases arrêtées ont notamment été une des critiques attribuées aux Belges lors du Mondial brésilien. Marc Wilmots les a entendues et a notamment consacré un entraînement entier aujourd'hui (à huis clos) pour travailler autant les phases défensives qu'offensives.
Alors que le pays tout entier trépigne d'impatience à l'idée de voir entrer en lice les Diables rouges, il ne reste plus qu'à espérer qu'ils réalisent une belle prestation et surtout qu'ils ramènent les trois points lundi soir... Offerts par un coup-franc de Kevin de Bruyne à la 89ème?
Allez savoir...
Thomas Destreille
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